__Introduction__

Zoey est une personne étrange et elle en est tout à fait consciente. Même d'apparence, elle diffère de ses congénères. Cependant elle se sent parfaitement intégrée dans ce monde, même si parfois ses oreilles pointues et ses cheveux blancs lui valent quelques discriminations.

__La Mort d’une Vie__

Son histoire commence un soir de printemps, dans une pièce éclairée d’une unique bougie posée au coin d’une petite table de bois sombre. Près du lit, un berceau en bois taillé par le père de la petite créature qui agite ses bras à l’intérieur. On dit souvent que le premier cri d’un bébé est signe de bonne santé, et que c’est le véritable signe du début de la vie d’un nouveau-né. Mais dans cette maison, il en avait été décidé autrement. À la place du cri, une note. Presque un chant à lui tout seul tellement cette note avait résonné dans la maison comme un éclair, mais avec un son plus doux que n’importe quel froissement de soie.
C’est sans doute le moment le plus merveilleux et le plus attendu de la part des futurs parents. Seulement là, il n’y avait plus de parents. Ou plutôt, il n’y avait plus que le père. Le cœur de la mère avait cessé de battre depuis bien longtemps déjà. Sur les joues du père, des larmes. Joie ou tristesse ? Il eût été bien incapable de le dire lui-même. Une naissance, une mort. Le cycle de la vie.. Comme c’est triste.

Les années passèrent. Son père restait plutôt distant et ne manifestait pas à l’égard de sa fille toute l’attention qu’elle aurait voulu. Il s’était mis à boire depuis la mort de sa femme, et il jouait également beaucoup. Ce train de vie, elle le mena durant presque 2 ans. Elle n’avait que 6 ans à l’époque, mais ses qualités étaient remarquables notamment en chant, et elle passait ses heures creuses à chanter à tue tête. Lorsqu’une note sortait de sa bouche, les gens autour d’elle s’arrêtaient de parler. Elle était devenue connue au village. C’était «la petite fille aux oiseaux». Elle allait à l’école à pied et menait une vie plutôt normale à l’exception bien sûr de sa situation familiale. Il y avait bien une personne qu’elle n’aimait pas trop, Noah, une garçon d’un an de plus qu’elle qui ne faisait que de se moquer de son apparence. Mais il lui ressemblait, d’une certaine manière : son père était mort, et sa mère délirait complètement les soirs de pleine lune et en plein jour. Remarquez, lui, il avait les dents jaunes et décalées, des cheveux gras et des habits dépravés, mais jamais Zoey ne s’était moquée de lui. Elle s’enfermait constamment dans sa bulle, dans son monde. Elle s’inventait une autre vie, peut-être la même que la sienne mais avec d’autres choix, d’autres chemins. Elle imaginait souvent ce que serait sa vie si sa mère n’était pas morte. Elle songeait à son avenir aussi. Resterait-elle enfermée dans ce village pour l’éternité ? Ou bien arriverait-elle à réaliser son rêve et à voyager à travers le monde ?
Autant de questions se bousculaient dans sa tête. Des hypothèses farfelues, des rêves inaccessibles. Combien de fois avait-elle rêvé d’un autre monde, un monde magique, merveilleux. Qui sait si il existait quelque part ? Elle ne savait pas pourquoi mais elle était convaincue que oui, et ses prédictions ne la trompaient jamais…

Un matin, elle se réveilla de bonne heure, mais elle aurait préféré ne jamais se réveiller. Dormir. Mourir. Comme son père. Il faisait à peine jour. Zoey s’était levée pour aller sur la terasse prendre un bol d’air frais. C’est alors qu’elle l’entendit. Un cri. Un grand cri avait déchiré le silence nocturne, le murmure de l’aube. Un cri étouffé et fort à la fois. Celui de son père.
Elle ne réfléchit plus. Elle parcourut la maison en sens inverse en courant, dérapant à chaque coin de mur. Lorsqu’elle ouvrit la porte de la chambre de son père, sa vue se brouilla, des larmes roulèrent le long de ses joues. Une mare. Pas comme celle dans laquelle elle aimait patauger et se baigner. Une mare rouge vermillon. Un couteau planté en plein cœur, son père était étendu sur le lit, les yeux vides, le teint pâle.
Zoey cria. Elle cria de toutes ses forces. Les habitants des quelques maisons voisines accoururent, et bientôt tout le village était réveillé, racontant les rumeurs qui circulaient.

— Tu sais quoi ? La petite qui chante a entendu son père crier. Deux minutes plus tard, il était mort.
— Non, c’est une blague ?
— Malheureusement, non. Pauvre petite !
— Quel choc !
— Mais, qui l’a tué ?
— Il s’est peut-être suicidé. Il buvait beaucoup trop ces derniers temps. Il jouait, aussi.
— Tu crois ? Vous croyez ?
— Ah, voilà encore une bien tragique histoire. Mais la pauvre Zoey, où est donc sa bonne étoile ?

La jeune fille ne savait plus quoi penser. Pleurer ? Partir ? Hurler ? Elle était indécise. C’est alors que sa réaction parvint, enfin, à sa bouche. Et ce fut la pire de toutes celles qu’elle aurait pu ressentir. Elle éclata de rire. Un rire mélodieux mais déchiré. Elle riait. Sa réaction jeta un froid parmi les personnes présentes. Comment pouvait-elle rigoler dans une occasion pareille ? On commença à la traiter de folle, de tous les noms possibles et inimaginables. C’est fou comme un simple geste, un simple éclat de rire peut changer toute une vie. Deux minutes plus tôt, on était prêt, dans tous les foyers, à la recueillir. Maintenant, on la chassait. Elle savait que ce n’était pas la bonne réaction. Mais elle n’y pouvait rien. C’était naturel, mais ce n’était pas pour autant un rire joyeux. Non. C’était un rire pour chasser les mauvaises pensées, la tristesse, les malheusr, l’horreur. Il est vrai qu’à 8 ans, on ne se rend pas bien compte. Alors elle décida de partir.

Elle rentra dans la maison, claque la porte de sa chambre et d'y adossa, se laissa glisser au sol et prit sa tête entre ses mains. Elle essayait de pleurer, mais le sourire sur son visage ne voulait pas disparaître. Elle se releva, rassembla ses affaires, les entassa dans un sac deux fois plus gros qu’elle, prit un cheval et s’en alla. Elle marchait à côté du cheval qui portait ses affaires.
Sur son chemin, elle rencontrait des gens qui eurent pitié d’elle. Elle fit donc connaissance d’Ayrilis et de Themys, deux sœurs jumelles qui la prirent sous leurs ailes. Parfois, lorsqu’elle était censée dormir, elle allait écouter à leur porte et entendait d’étranges discussions.

— Dis moi, Themys, tu pense que Zoey pourrait apprendre la magie ?
— Oui, je le pense. Sa magie ne demande qu’à se développer, je le sens. Après toutes les horreurs qu’elle a vécues, cela a dû accélérer son développement. Il faudrait lui en parler.
— Mais, elle n’a que huit ans. N'est-ce pas un peu trop tôt pour apprendre à contrôler une magie ?
— Un peu, mais je sens qu’elle a un énorme potentiel. Elle pourrait entrer à l’Académie, tu crois pas ? Quand elle aura grandi, je veux dire.
— Bien sûr. Tu as entendu comme elle chante ? Cela montre sa valeur. Quant à sa magie… elle a vécu tellement de choses difficiles… je suis curieuse de voir de quelle sorte elle sera. Bref, nous verrons tout cela demain, veux-tu ? Bonne nuit !
— Bonne nuit !

«Magie». «Potentiel». Les mots de son autre monde… alors, c’était ÇA, l’autre monde dont elle avait toujours rêvé ? Elle ne voyait pas trop de différences, pour le moment. Mais elle n’avait pas la tête à se plaindre. Elle se glissa sous ses couvertures et s’endormit d’un sommeil sans rêves.

__La Magie de la Musique__

Deux jours après, les jumelles convoquèrent Zoey dans la grande salle. Elles souhaitaient lui parler et la jeune fille se douta qu'il s'agissait de cette mystérieuse magie. Elle s'assit en face d'elles et les regardèrent fixement dans les yeux pendant deux bonnes minutes. Puis Themys prit la parole.

— Zoey…
— Je sais, coupa la jeune fille. Magie intérieure, tout ça. Potentiel aussi je crois. Alors, que voulez-vous me dire ?

La jeune fille se rendit compte de son impolitesse et baissa aussitôt les yeux mais, à sa grande surprise, Airylis esquissa un sourire sincère.

— Ah, je n'en attendait pas moins de toi, Zoey. Eh bien, cela nous évitera de nous attarder sur ce sujet. Comme tu l'as sans doute entendu, depuis que nous t'avons recueillie, Themys et moi ressentons en toi un fort potentiel magique qui ne demande qu'à se développer. Ne t'étonnes pas si personne d'autre ne l'a vu avant nous, nous sommes capable de faire une telle chose grâce à notre magie à nous.
— Ah ? s'étonna-t-elle. Et, c'est quoi, votre magie à vous ?
— Ce n'est pas le plus important, mais pour aller vite, disons que nous pouvons lire les âmes des gens, expliqua Themys.
— Oh, je vois… et la mienne alors, qu'est-ce que c'est ?

Les deux sœurs marquèrent une pause.

— Ça, on ne peut pas le savoir… il faut que ce soit toi qui la découvre.

Airylis laissa la parole à sa sœur d'un geste de main.

— Oui, depuis que tu es petite tu ne fais que chanter. Et ta magie a de fortes chances d'être liée à cette passion. Seulement, j'en doute fortement car tu aurais du t'en rendre compte plus tôt étant donné que tu ne fais que chanter. Nous ne pouvons donc pas te donner de renseignements. Il faut que tu trouves le moyen d'activer ta magie, de la réveiller. Souvent, il faut recevoir un choc profond, je parle mentalement bien sûr, et la magie s'active. Ou bien il faut se retrouver dans un endroit où ta magie ne peut pas fonctionner du tout, et alors tu ressens un vide. Ensuite, tu dois chercher dans cette direction pour trouver la source de ton pouvoir.

Cette discussion allait prendre fin lorsqu'un détail revint dans l'esprit de la jeune fille. Les deux sœurs s'étaient levées et Zoey s'apprêtait à faire de même, mais elle suspendit son geste.

— Dites moi… vous avez parlé d'une Académie… je ne sais plus trop… de quoi s'agissait-il ?
— Ah, fit Themys d'une voix un peu voilée. Tu as entendu cela aussi ? Eh bien, oublie pour le moment. Tu le découvrira bien assez tôt.

Déçue mais résignée, Zoey monta dans sa chambre. Elle se demandait bien quel genre d'événement pouvait réveiller sa magie.
C'est le jour de ses treize ans qu'elle l'apprit.


__L'apprentissage__

Le jour de l'anniversaire de ses treize ans, les deux sœurs lui offrirent un magnifique casque noir orné d'argent. Elle rayonnait de bonheur. Elle allait enfin pouvoir écouter de la musique sans recevoir de plaintes de tout le voisinage. Elle sauta au cou de Themys et d'Airylis. Elle souriaient et on voyait clairement qu'elles se retenaient d'éclater de rire.
Elle passa le reste de la journée avec son casque sur les oreilles. On ne savait pas par quel miracle son ouïe restait intacte, mais c'était une des pistes qui renforçait l'idée de sa magie liée au son.
Elle la découvrit d'ailleurs dans la soirée, à cause, ou grâce selon les points de vue, à un terrible accident qui, heureusement, ne fit aucune victime.

Il était assez tard et la lune commençait à s'éclipser. Zoey était sortie dehors pour prendre l'air, son casque collé autour des oreilles quand une silhouette sombre lui sauta dessus. Elle voulu crier mais aussitôt, une main vint se plaquer sur sa bouche pour étouffer son appel.

— Ne bouge pas ou j'te bute, siffla une voix malveillante.

Son casque était à terre. Elle donna un violent coup de pied en arrière qui déstabilisa un instant son adversaire puis ramassa son casque et le remis sur ses oreilles. Elle se sentait en sécurité avec lui. L'homme avait repris son équilibre et la menaçait avec un couteau. C'est alors qu'elle entrevit une brèche et parvint à s'échapper. Elle se mit à courir, courir, courir à en perdre haleine. Puis elle se retourna. Et elle le vit. Un couteau brillant qui fonçait droit sur elle. Son cœur. Exactement l'endroit précis où l'arme avait frappée son père quelques années plus tôt.
"NON !"
Elle le pensa de toutes ses forces. Mais rien ne pourrait arrêter la course folle du couteau. Elle était comme paralysée. Et alors qu'il allait entamer la chair, le couteau rebondit, comme repoussé par un bouclier invisible. Quelque chose de sombre venait de se dresser devant elle pour la protéger. L'homme était parti. Zoey n'y comprenait rien. Que s'était-il passé ? Comme pour vérifier qu'elle ne rêvait pas, elle passa une main sur son cœur puis ramassa l'arme et effleura avec le bout de son index. Un filet de sang coula. Ce n'était pas un rêve.
Quelle était cette étrange chose qui l'avait protégée ? Elle baissa les yeux vers le sol et remarqua son ombre. Son ombre… elle était étrange, son ombre. Elle ne lui ressemblait pas. Elle était complètement rectangulaire. Peu à peu, elle reprit sa forme initiale.
Bouleversée, elle rentra chez elle et trouva les deux sœurs déjà couchées. Elle n'osa pas les réveiller et monta directement dans sa chambre. Elle s'endormit après plusieurs heures de réflexion. Mais elle ne parvenait pas à expliquer ce miracle autrement qu'avec l'aide de sa mystérieuse magie. Alors il avait fallu que sa vie soit menacée pour que celle-ci s'éveille ?

Le lendemain matin, elle courut à la porte de Themys et la secoua pour la réveiller. Celle-ci émergea doucement et ouvrit des yeux rouges et fatigués.

— Zoey ? Mais…
— Themys ! Ma Magie ! Je crois qu'elle s'est réveillée ! hurla-t-elle.
— EH ! Pas si fort, protesta la jeune femme. Tu oublies que tu viens de me tirer du lit en hurlant comme une folle. Va chercher Airylis.

Zoey courut dans la chambre située juste en face de celle-ci et réveilla Airylis de la même façon. Dix minutes plus tard, qui parurent interminables pour Zoey, les deux sœurs étaient enfin prêtes à écouter son incroyable récit.
Elle le détailla de bout en bout. Après un long silence, ce fut Airylis qui prit la parole en première.

— Tu as raison, Zoey, c'est bien ta magie. Tu l'as utilisée inconsciemment pour te protéger. À partir d'aujourd'hui, tu devrais être en mesure de la contrôler peu à peu. Je te l'enseignerais, avec Themys, du mieux que je le pourrais, mais il faudra sans doute que tu ailles voir un mage plus puissant pour qu'il devienne ton maître.
— Non, je ne veux pas partir, je ne veux pas vous quitter. J'en ai marre de voyager sans arrêt, de changer de famille. Je resterai ici et j'apprendrai seule.

Themys sourit et prit le relais :

— Comme je te comprends ! Eh bien, soit. Tu pourras apprendre seule. Ce sera peut-être plus long mais les résultats seront les mêmes. Nous commençons sur-le-chanmp.

Sur ce, l'entraînement commença. Il s'avéra qu'elle avait un véritable potentiel magique et elle parvenait à utiliser sa première technique à merveille. Bien que cela soit fatiguant, elle avait fait sans compter la sueur et les heures passées à s'entraîner. Pour elle, c'était un nouveau départ, comme une deuxième vie qui s'offrait à elle. Comme dans ses rêves. Ils étaient devenus réalité.


__Entrée à l'Académie__

Plusieurs années passèrent encore. Elle maîtrisait parfaitement les techniques maîtrisables à son niveau et sa magie s'avérait souvent redoutable. 'La Manipulation des Ombres'. Magie intéressante. Son ombre lui obéissait au doigt et à l'œil. Cela avait, certes, un côté inquiétant. Mais elle s'en fichait. La seule chose qu'elle était venue à redouter pour le moment, c'était le noir complet. L'absence de lumière signifiait une absence d'ombres. Et ce n'était pas vraiment son élément. Pas du tout même, puisqu'elle ne pouvait pas utiliser de magie. C'est pourquoi elle s'était procurée un fouet qu'elle maniait avec un style redoutable bien à elle, comme une danse de mort, au cas où sa magie serait inutilisable.

Lorsqu'elle eut ses 16 ans, Airylis et Themys la firent entrer à l'Académie. l'Académie Kagami. Académie de renommée, académie magique. Elle s'y sentait à son aise bien que parfois un peu enchaînée, mais cette nouvelle vie lui plaisait. Et puis elle avait intégré les Meigetsus. La personnalité et l'esprit des gens de ce groupe lui correspondait parfaitement. Et, peu après, elle en devint le chef. Elle restait dans l'ombre, et peu de gens savaient qui dirigeait ce clan en réalité.

Son but n'avait pas changé. Elle voulait pouvoir vivre libre, même si pour cela il fallait aller en prison. Elle était prête à tout pour avoir une vie confortable. Et cette Académie était une étape de l'emprisonnement libéral. C'était le nom qu'elle avait donné à ce genre de paradoxe. Vivre enfermé pour être libre. Bien que sa magie ne soit on ne peut plus originale et très peu répandue dans ce monde, elle n'aimait pas s'en vanter. C'est pourquoi elle chantait, car sa passion pour la musique ne l'avait pas quittée. Et lorsqu'elle chantait, même les oiseaux se taisaient pour l'écouter. Elle était heureuse et essayait de ne pas trop penser à l'avenir. Mais elle n'avait que ça en tête et elle savait bien, au fond d'elle-même, qu'un jour, LE jour, elle devrait déployer toute sa puissance et l'utiliser pour atteindre son but.

○ Les passions : Zoey est bien sûr passionnée par la musique mais aussi par les bonbons à la menthe forte et le sang. Elle n'en boit pas, mais sa couleur la fascine. Elle aime également la lune et rêve de pouvoir un jour la carboniser pour en récupérer quelques morceaux.

○ Les Phobies : Elle déteste bien sûr le noir complet, je dis bien complet, ou tout ce qui peut amener à faire disparaître les ombres car sans ombres elle ne peut plus utiliser sa magie. C'est pourquoi elle redoute également de perdre son fouet, son deuxième meilleur moyen de survie. Ah, j'oubliais… elle déteste les roses. Sauf les roses rouge sang.

○ Les Qualités : Mis à part sa beauté, Zoey fait toujours preuve de sang-froid et de courage, mais on ne peut pas non plus négliger ses prouesses en rapidité. Elle est dotée d'une agilité sans pareille ce qui fait d'elle et de son fouet des adversaires redoutables dans les combats rapprochés. Et elle chante incroyablement bien.

○ Les Défauts : Zoey est une personne assez rancunière et cassante, même si elle s'avère parfois très compréhensible, on ne sait jamais quel coup en douce elle peut vous donner.


○ Qui est le personnage sur ton avatar : Suigintou de Rozen Maiden (je ne lis pas ce manga mais j'aime bien le personnage xD)

○ Veux-tu un rang sous ton avatar :
Oui je veux bien.
[code] Mangeuse d'Âmes. [ /code]

○ Prénom :  Line

○ Ton age : 14 ans.

○ Où as-tu découvert A.K : Ancienne de FTDC (Anselys T. Darkreï)

○ Qu'est-ce qui t'a attiré dessus : Le fait d'un concept nouveau et aussi celui de connaître déjà pas mal de personnes, car le plus dur en général dans un forum c'est de s'intégrer. Et puis ici on est fous, alors, c'est ma place o/

○ Veux-tu avoir accès à la zone Hentai/Yaoi/Yuri : J’dis pas non.

○ Code de validation : Je soussignée Zoey avoir lu et approuvé le règlement de l’Académie.