Elena possède une nature chétive de par sa maladie qui l’affaiblie constamment. Ainsi, elle possède une taille peut élevée de 1,68 m pour 53 kilos, ce qui fait d’elle une demoiselle très fine qui ne tire pas vraiment vers le menace lorsqu’on la voit, d’un côté cela ne la dérange pas car ce n’est pas son but de se battre avec les autres, et puis on dit que les succubes sont toutes de grandes séductrices et naturellement attirantes, Miss Sulivans n’échappe pas à la règle.

En effet, autour d’elle plane une atmosphère d’attirance constante, comme si vous ne pouviez vous empêcher de tourner votre regard en la croisant, garçon ou fille, personne n’y échappe et Elena à maintenant l’habitude d’être constamment épiée, sifflée, et draguée bien qu’elle n’est pas très enjouée de cela .

Son visage se dessine sur des traits accueillants, attirants, un petit nez fin à l’arête bien droite finissant sur une courbe des plus ‘cute’ comme certains aiment le dire. De jolis lèvres rosées au goût délicatement sucré naturellement, qui vous donnera envie d’y goûter, mais attention, Elena n’embrasse qu’en cas d’extrême urgence si nous pouvons dire cela ainsi… Et ce ne sera pas forcement une sensation agréable pour vous. En fait, la seule personne qui pourrait obtenir une sensation agréable et douce, serra l’élue de son cœur.

Ses yeux sont joliment courbés, légèrement allongés mais sans pour autant lui donner un air ‘chinois’, ils sont d’une couleur turquoise, mélange d’un vert et d’un bleu et envoûtent souvent les quelques insouciants qui s’y perdent parfois même sans que la demoiselle n’utilise son pouvoir d’attirance.

Ses cheveux sont également fait pour laisser part à la jalousie des demoiselles, ils sont brillants et très doux au touché comme si rien ne pouvait les atteindre ou les emmêler, ils sont naturellement lisses et atteignent le bas du dos de la demoiselle lorsqu’ils sont lâchés. Leur couleur est celle d'un rose pâle qui ne laisse, encore une fois, pas filtré l’indifférence mais qui malgré la couleur spéciale lui vont à merveille.

En ce qui concerne son style, Elena est naturellement féminine mais peut être aussi stylée plus ‘rockeuse’, en effet elle aime porter des robes mais aussi des slims, des shorts et également des débardeurs et surtout des chemises avec ou sans cravates mais il est plus commun de la voir habillée de façon féminine. Les deux styles lui vont et elle s’habille en mesure de ses envies, il lui est parfois nécessaire de mettre même un sweat a capuche quand elle veut juste la paix et le calme.

Lorsque vous entendez le mot ‘ Succube’, la plupart d’entre vous pensent à une femme séductrice, sadique et manipulatrice… Je ne vais pas vous mentir, Elena ne laisse personne indifférent, c’est vrai qu’elle séduit naturellement, mais c’est tout.

En effet, Elena déteste plus que tout manipuler les autres, même si elle est parfois obligée de le faire elle n’en tire aucune satisfaction, plutôt énormément de remords, ce n’est donc pas une joueuse ce qui surprend beaucoup de personnes d’ailleurs.

Elle est encore moins sadique, elle n’aime pas voir les autres souffrir et n’aime donc pas les faire souffrir. Croyez-en que son cœur en ressort encore plus blessé que le votre. Au fond, cette Succube est une fille bien même si elle fait croire le contraire histoire de ne pas trop s’attacher aux autres de peur de retomber dans un amour fou qui pourrait être mortel pour quiconque ne possède pas don d’immortalité.

Ainsi, bien qu’elle n’est pas méchante, elle aime la solitude, être solitaire et loin du monde. Sa ne l’empêche pas de vouloir se faire des amis, d’être curieuse et d’aimer s’amuser en société comme le fait d’aller en boîte, seulement il semble y avoir des barrières solides posées sur son cœur, qui feront de vous des ‘potes’ des ‘amis’, mais jamais ou très rarement plus.

Elle n’aime pas montrer sa faiblesse, ni même parler de sa maladie, ainsi lorsqu’elle ressent des vertiges elle se cache comme un animal près à mourir ce qui lui vaut dans des cas extrêmes de frôler malheureusement la mort, il est possible de la retrouver à bout de souffle, le personnel de l’établissement est d’ailleurs au courant de ce problème chez elle, un problème qui ne peut être remédier malheureusement que temporairement et d’une certaine façon…

A côté de ce souci, Elena est une jeune demoiselle très serviable qui aime aider les autres lorsqu’ils ne profitent pas d’elle, par exemple pour comprendre quelque chose, porter des courses etc… Elle se sent plus vivante de pouvoir être utile.

Elle aime beaucoup la nature, et passe la plupart de son temps à l’extérieur, son endroit préféré reste la plage. Elle ne se plaint de rien et aime profiter de chaque instant de la vie ne sachant pas vraiment combien de temps il lui reste, en effet les docteurs n’ont pas été capable de dire si cette maladie allait avoir à long terme raison d’elle. Elle vie donc avec une pendule qui penche parfois sur la vie, parfois sur la mort.

Elena ne juge personne sans les connaître elle se moque des races, des orientations et des passe-temps des personnes tout comme elle se moque de cette guerre futile. Elle ne veut que savoir qui peut-être un ennemi et qui un ami. En général, elle ignore les personnes qu’elle ne peut supporter car en effet sa seule manière de combattre est la séduction, et qui serait assez fou pour vouloir séduire un ennemi ?

Elle peut être parfois arrogante lorsque quelque chose l’embête énormément ou qu’elle veut être tranquille par exemple. Elle possède du répondant mais ne va jamais dans la vulgarité ni la provocation de la roue infernale. Elle cherche juste à s’éloigner la plupart du temps, au contraire elle reste très froide face aux provocations qu’on lui lance car elle possède beaucoup de maturité.

Avec les personnes avec qui elle possède des affinités, Elena peut se montrer protectrice mais aussi taquine sans pour autant tourner dans la méchanceté. C’est une partie d’elle qu’elle aime faire ressortir lorsque la personne est méritante.

Elena est très courageuse et refuse rarement quelque chose qui lui est confié peut importe le risque tant qu’il n’inclut qu’elle, par exemple des missions dangereuses. Certains la jugeront comme légèrement suicidaire, mais c’est en frôlant la mort qu’elle arrive parfois à se sentir en vie.

Elena est donc un cocon de glace qui renferme un cœur brûlant qui ne cherche qu’à apporter paix et sécurité aux personnes qui peuvent se frayer un chemin dans l’air glacé pour y atteindre le volcan. l

Je suis née dans un monde qui ne me convenait pas.

J’étais vouée à la haine, dès mon plus jeune âge, j’étais une « démone » comme les autres aiment nous appeler. Une démone de la séduction… Je suis née ainsi, bien sûr l’enfance nous retrace une belle innocence… Non… J’ai grandis dans la couleur rougeâtre d’une âme égarée.


Chapitre I : Naissance de la séduction

Elena vint au monde un beau matin de Juillet, et si l’histoire ce permet d’utiliser ce mois, c’est parce que la jeune Succube est née bel et bien sur la Terre, la planète bleue que nous connaissons tous. Elle ne connait pas grand-chose du passé de ces ancêtres, simplement qu’ils auraient réussit à s’échapper par un soi-disant miroir magique capable de les transporter de ce que l’on appelait le ‘Monde des Mystères’ à ici.

Le monde des mystères était un lieu ou ils avaient été bannis il y a des années et des années, elle n’en savait pas plus, cette histoire remontait à ses arrières grands parents, autant dire que cela datait et que malgré la curiosité de la jeune Succube, le reste semblerait n’être que mystère.

Pour ses parents, naturellement Succube & Incube faisant d’elle une pure démone de la séduction, la terre était un véritable buffet à volonté… En effet, si les vampires aimaient aspirer le sang, les séducteurs eux préféraient aspirer l’énergie vitale.

Les premières années de la demoiselle se firent en douceur, au commencement elle n’était qu’une simple humaine aux traits enfantins et aux cheveux et yeux turquoise. Ses parents la protégeait du monde extérieur, en effet comment expliquer à une population humaine que sa fille de 4 ans possède des cheveux turquoise ?

Cependant, entourée entre quatre mur, elle ne manquait de rien, son père était un homme charismatique qui n’avait aucun mal à se faire passer pour un simple humain, qui de plus semblait avoir de bonnes facultés ce qui lui permit de devenir un avocat renommé. Personne ne pouvait se douter que derrière cet homme si doux et charismatique se cachait un séducteur mortel. Sa mère quant à elle, cachait aussi son jeu magnifiquement bien en travaillant en temps qu’infirmière.

Chapitre II : Premières pulsions

Si ce jeu semblait amuser ses parents, la jeune fille n’en appréciait pas les couleurs. Elle grandit dans un cadre fermé et privé, prenant des cours avec des professeurs particuliers humains, sûrement les seuls à ne pas être séduits, agressés ou tués par ses parents au saint de la villa. Elle réussit à un niveau de lycéenne bien vite, en effet la demoiselle était d’un tempérament calme et intelligent.

Ses parents décidèrent de l’envoyer au lycée, avec comme message de ‘jouer la petite rebelle’ par apport à son look, une fille aux cheveux si éclatant ne pouvait être timide. L’apparence, toujours l’apparence… Pourtant elle qui avait passé la plupart de ses années enfermée dans la maison se retrouvait la, au milieu de personnes de son âge, elle avait alors 15 ans.

Sociale et calme elle décida pourtant de faire de son mieux, elle suivit les cours et réussit même à se faire des amis, entre filles et garçons elle semblait bien s’entendre avec tous le monde par sa gentillesse et sa modestie. Puis un soir, tout bascula, et sa nature la rappela à l’ordre.

Elle avait 15 ans, elle était restée après les cours au Lycée pour travailler dans le calme, c’était une période d’examens et la jeune fille prenait cela très à cœur même s’il s’agissait d’un simple contrôle comme on pouvait en avoir régulièrement.

Un garçon de sa classe passa devant la salle, il était intéressé par elle depuis pas mal de temps. Il s’approcha avec un sourire, se plaçant à ses côtés, elle ne le détestait pas particulièrement, en fait elle était plutôt proche de lui. Comme un frère, pas un petit ami potentiel…

Pourtant ce soir là, le jeune garçon attrapa ses lèvres, le baiser n’était pas des plus formidables, au contraire il semblait maladroit, quant à elle le geste semblait naturel, mais elle n’aimait pas cela… Pourtant elle continuait, elle cherchait quelque chose. Elle comprit vite…

J’ai ressentie une formidable sensation, c’était comme un soulagement, comme boire dans une bouteille d’eau fraiche après avoir marché dans un désert … C’était vital, et j’en voulais encore et encore.

Le garçon commença à gémir, elle reprit enfin conscience et rompit le baiser, elle se sentait bien, comme si elle venait de manger un bon plat ou de se réveiller de bonne humeur. Pourtant, elle comprit vite pourquoi il était mal, alors elle trouva une solution en imitant qu’elle se sentait mal aussi.

_ C’était… C’était quoi ça ?!
_ Je… Je ne sais pas… ça sens… ça sens le gaz non ? On devrait partir d’ici …

Le garçon ne chercha pas à comprendre, bien sûr il ne sentait rien, tout était inventé. Il était rouge pivoine, et lui sorti un sourire séducteur en reprenant conscience alors qu’il attrapa sa main comme si elle lui appartenait déjà en sortant du bâtiment. Il prit une bouffée d’air frais et voulut l’embrasser de nouveau. Elle évita cela, d’un premier temps parce qu’elle ne voulait pas lui faire de mal, d’un second temps parce que le garçon ne l’intéressait pas du tout. Elle lui fit un simple non de la tête, armée d’un «désolée » avant de s’éloigner…

Le début de mon cauchemar.

Chapitre III : chasser le naturel, il revient au galop

Les jours suivants, le manque se fit sentir atrocement chez la jeune fille, elle frôla plusieurs fois la mort et sa mère du plusieurs fois lui venir en aide d’une façon assez particulière, mais c’était sa fille et elle ne voulait pas la voir mourir ainsi.

Son père du se résoudre à appeler un ami Succube qui travaillait dans le milieu médical, il lui expliqua d’une façon plus simple que ces cellules protectrices développées par l’aspiration de l’énergie vitale se détruisaient plus vite que la normale, c’était une sorte de maladie qu’on ne nomma pas car elle était un cas unique mais qui la forçait à avoir une fréquence d’aspiration d’énergie vitale beaucoup plus élevée qu’une succube normale sous risque d’en mourir.

Cette nouvelle fit un choc à Elena, elle n’aimait pas l’idée de devoir embrasser n’importe qui, de devoir profiter des personnes pour leur voler quelque chose. C’était comme un viol, non elle n’en avait pas le droit… Pourtant, ses parents la forcèrent, on l’emmenait régulièrement dans des boites, des bars, grâce à une carte d’identité truqué faisant croire que la jeune fille avait 18 ans quand on se permettait de vérifier, la plupart du temps elle passait par son originalité et son visage mature.

Elle entra ainsi dans ce monde qui ne lui convenait pas, remplit de baisers, et plus six affinités… Pourtant, elle refusa toujours qu’un garçon la touche plus qu’un ‘baiser pour ce nourrir’. En revanche, elle prenait une certaine satisfaction à flirter avec les femmes, bien que ce ne fût pas dans son caractère habituel. Elle s’arrangeait toujours pour ne tuer personne, utilisant sa séduction pour leur faire simplement oublier la douleur… Ils et elles étaient tellement épris(e)s de la jeune fille… Que le reste passait en second plan, on n’en oubliait les sensations désagréables tant ces baisers étaient inoubliables.

C’était naturel, c’était ma nature, mais je me détestais.

La demoiselle cessa subitement ces activités, elle ne pouvait plus supporter de faire souffrir et pleurer les gens en devant leur avouer ‘ entre toi et moi, il n’y aura jamais rien…’. Elle ne se nourrissait que du nécessaire et tenait de moins en moins, elle maigrissait, diminuant ces activités. Malheureusement, un jour, sa nature la fit revenir an grand galop…

Chapitre IV : Amour mortel

Elena se forçait à reprendre un rythme normal. Elle trouvait une proie de temps en temps, ne prenait que le stricte nécessaire dans la nuit et repartait aussitôt, elle faisait oublier, elle aimait même faire beaucoup boire ses potentiels proies histoire qu’elles ne se souviennent simplement plus de rien, et croient juste à l’illusion du délire. Pourtant, au lycée, une autre passion animait le cœur de la Succube, elle avait alors 16 ans, et allait bientôt sur ses 17 en vérité.

C’était une demoiselle d’une classe voisine avec qui elle avait lié une amitié, elle s’appelait Lena, un prénom qui ressemblait étrangement au sien et qui les faisaient doucement rires. Les mois passaient et les filles se rapprochaient, elles s’envoyaient régulièrement des SMS se voyaient très souvent, que ce soit pendant les pauses ou en dehors des cours, si bien que lorsqu’on parlait d’une, ou voyait immédiatement l’autre.

Un soir parmi tant d’autres, Elena vint rendre visite à son amie pour l’aider dans ses études, ce n’était sûrement qu’un prétexte de plus pour la voir. Lena l’invita à rester, ce soir là elles franchirent un cap qu’elles souhaitaient depuis longtemps, ce n’était pas une question de nourriture car la Succube n’aspira pas l’énergie vitale de sa partenaire, ce n’était qu’un amour lié entre deux femmes, c’était pur et magnifique, un souvenir mémorable.

Mais la réalité revint vite au galop, si les deux filles se mirent en couples et se moquaient du regard des autres, la nature d’Elena n’arrangeait rien. Un soir alors qu’elle s’affaiblissait elle avoua tout à Lena.

[color=lightsteelblue]Je lui disais que j’allais mourir, que j’étais une démone, je confirmais mes paroles en lui montrant un changement de couleur dans mon regard qui devenait plus clair et maléfique... Je lui disais que j’étais l’âme du diable, que j’étais une Succube, une succube folle d’elle mais qui préférait mourir que de lui faire du mal… Elle m’a dit de me la fermer, elle m’a embrassé. Elle avait mal, mais elle n’arrêtait pas, et moi j’étais incapable d’arrêter... Comme enchaînée à cette pulsion par de lourdes chaines de fers. Impossible à défaire… J’étais prisonnière ...[/color

Vous connaissez cette légende sur les Succubes ? Elles peuvent devenir folle à trop aimer… Elena aimait une femme, c’était peu commun pour sa race. Mais son amour grandissait en même temps que sa folie, et ce soir là…

Je l’ai tué.

J’allais mourir et j’étais bien ainsi, et le temps s’est inversé, elle à cessé de respirer…

Je l’ai tué.
Je l’ai tué.
Je l’ai tué.

Chapitre V : Il faut que tu respires…

Le temps c’était arrêté depuis son enterrement, les médecins n’avaient pu décerner qu’un arrêt cardiaque sur son corps. Les larmes de la Succube étaient importantes, même ces parents ne pouvaient rien y faire. Ils s’en voulaient presque de l’avoir mis au monde, de l’avoir fait souffrir ainsi. Sa mère pleura beaucoup, malgré sa nature cruelle et sadique elle ne pouvait que s’en vouloir de ne pas avoir été la à ce moment précis pour arrêter sa fille.

Le fait qu’Elena se dise Homosexuelle n’avait que peu d’importance en cet instant, son père s’en rendit vite compte. On enterra Lena en même temps que le bonheur d’Elena.

Les jours suivant furent l’enfer, au lycée tout le monde tentait de la rassurer, de lui parler. Faisait-elle pitié ? Sûrement oui. Elle se renfermait, ne parlait plus à personne. Elle reprit ses activités du soir, elle brisait des cœurs, mais elle s’en foutait. Elle voulait qu’on la poignarde, qu’on l’insulte, qu’on la tue… Elle voulait vraiment mourir, mais pas se suicider, elle ne pouvait pas faire du mal à ses parents de cette manière, alors si quelqu’un lui rendait ce service, c’était très bien non ?

Mais un soir, ses parents en eurent marre. Son père posa un dossier d’inscription sur son bureau ou elle était allongée, comme morte ne fixant que son mur violacé.

_ Tu changes d’établissement, tu pars demain. Tu te sentiras moins seule là-bas, tu n’es pas la seule succube, ni même le seul être surnaturel de cette planète.
_ Je ne veux pas.
_Silence, je ne t’ai pas demandé ton avis. Tu pars demain c’est dit.
_Je ne veux plus tuer.
_ Crois moi qu’il faudra t’acharner pour…

Son père sorti de la pièce, elle ne comprenait pas l’impact de ses mots. Le lendemain sa mère l’emmena en voiture devant cet établissement si spécial. Elle sortie en silence, ne regardant que sa valise noire qu’elle commença à faire rouler. Sa mère la retenue par le poignet :

_ Désolée…
_ Maman tu… Pourquoi tu t’excuses ?
_ Je t’ai cruellement mise au monde…. Cruellement forcée à faire tous cela… Cruellement rejetée lorsque tu avais besoin de moi.
_Mais… Tu pleures…

Elena réalisa ce qui venait de se passer. Elle prit sa mère dans ses bras tendrement, elle lui frotta le dos.

_ Promets moi que tu arriveras à être heureuse…
_ Je … je…
_ Silteplait ma fille… Promets-moi…
_ Je te le promets…

Elle dit aurevoir à sa mère, se tournant face à cet établissement scolaire, prenant une grosse bouffée d’air.

Ce n’est que le début d’une nouvelle histoire.

○ Les passions : La nature, les sorties, la découverte, en dehors de ça Elena aime beaucoup les animaux.
○ Les Phobies : Tuer de nouveau une personne chère à son coeur.

○ Les Qualités : Calme, mature, généralement douce et agréable en temps qu'amie.
○ Les Défauts : Sa maladie qui la force parfois à faire du mal aux autres, son côté solitaire et parfois provocant, sa faiblesse naturelle.

○ Qui est le personnage sur ton avatar : Lily de Vocaloid ( couleurs modifiées)
○ Veux-tu un rang sous ton avatar : ( exemple : The angel of Hell etc ) Si oui, veuillez me fournir le code en HTML entre [ code ] Fatal Seduction [/ code]

○ Prénom : BERNADETTE DE LA TOURETTE
○ Ton age : 1873 ans

○ Où as-tu découvert A.K : DC de Kana
○ Qu'est-ce qui t'a attiré dessus : Toi (a)
○ Veux-tu avoir accès à la zone Hentai/Yaoi/Yuri : Ouiii
○ Code de validation :Oh hé une fois pas deux U.U